16 décembre 2012
Bardiglio Scuro.
Ton pleure à brûler mes paupières, Ton coeur embrasé ma sculpture... Et tes larmes, ô enfant solaire, Soumettent ma pierre aux tortures. (...) Échos. (...) Comme il y a des blessures vermeilles, Mes plaies sont tes yeux consumés. Ma cendre est parfumée...